24FPS HS 2014 : Les films de Janvier

Draven 2 15:29
Nous tenions à revenir sur 3 films événements de ce début 2014 chez 24FPS, le podcast ciné avec ou sans spoiler, et les voici réunis au sein d'un épisode hors-série.
Jérôme et Julien évoquent donc les films American Bluff de David O. Russell, Les Brasiers De La Colère de Scott Cooper et enfin Dallas Buyers Club de Jean-Marc Vallée. Un avis rapide est donné sans spoiler sur les trois films au début de l'émission, puis après le signal sonore les discussions vont davantage dans les détails (sans toutefois revenir sur toutes les scènes des films) avec des révélations sur tous les scénarios.




Bonne écoute, et n'hésitez pas à partager votre avis sur les 3 films.

Crédits musicaux : Live And Let Die de Paul McCartney and the Wings, issu de la bande originale du film Vivre Et Laisser Mourir (1973)

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2 commentaires

un peu decu car j'attendais le decorticage scene par scene sur Dallas buyer club qui pour moi est un super film et qui meriterait tout les oscars, Je ne comprends pas ce qui s'est passe dans la tete de Matthew qui d un coup explose le grand ecran et maintenant une serie sur HBO au cote de Woody Harelson (qui meriterait un 24fps mais vous m avez deja repondu sur ce point) Il etait bon avant mais maintenant on le voit partout. J esperais plus de details dans votre pod dessus mais je vais me contenter de wiki.
J 'exprime juste ce que je ressens ne prenez pas ca pour une requette de ma part.

Salut, je viens d' écouter votre podcast avec un peu de retard vu que j' étais passé& à côté à l' époque.
Je suis assez d'accord avec vos différentes critiques sur ces 3 films.
C'est vrai que jennifer lawrence, sincèrement, le temps passe et je me demande comment elle se retrouve nominé aux oscars tout les ans; ça devient un mystère surtout cette année pour joy quand alicia vikander explose dans ex machina.

sinon concernant out of furnace, je crois que le meilleur du film, c'est le générique de fin et la chanson "release" de pearl jam.
Je m'y attendais pas sur le moment et ça m' a rappelé les bons souvenirs du début des années 90 et le grunge de seattle.
Le film en lui même est vide de scénario et est sauvé par les quelques très bons acteurs qu'ils ont.

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